Comment configurer un nouveau PC: Les indispensables lors d'une nouvelle installation

A la réception d'un nouveau PC ou lors de l'installation d'un système d'exploitation, j'utilise:

PCDecrapifier qui permet de se débarrasser des bloatwaresse, les logiciels installés par les constructeurs dont on n'a pas besoin.

TousLesDrivers.com pour mettre à jour ses pilotes et leur service est en maintenance ils proposent des liens vers les pages des constructeurs où vous trouverez les pilotes, logiciels et micrologiciels à mettre à jour.

Avira un bon antivirus gratuit pour protéger votre PC.

Unchecky pour empêcher l’installation d’indésirables.

GlaryUtilities pour l'ensemble de la maintenance de votre PC.

Ninite.com pour télécharger et d’installer proprement un ensemble de programmes utiles et souvent indispensables à sélectionner parmi une liste.

Penser à réinstaller les modules complémentaires de vos programmes si il ne le sont pas automatiquement. Firefox permet par exemple leurs synchronisation. Pour LibreOffice, il m'a fallut par contre réinstaller l’excellent correcteur grammaticale Grammalecte.

Des logiciels spécifiques à vos périphériques doivent aussi être réinstallés. Il peut s'agir des appareils photos, imprimantes, scanners, souries, téléphones, tablettes et autres objets connectés.

Vos logiciels sous licence sont aussi à installer et il vous faudra retrouver les CD et les clés d'activation.

Il vous faudra également entrer vos identifiants et vos mots de passe pour vos applications (skype, FTP...) et les réseaux wifi.

Par ailleurs, Microsoft avec Windows 10 est beaucoup plus intrusif en collectant de nombreuses informations personnelles pour ses services personnalisés et rémunérateurs.

Windows 10 propose cependant des menus afin de réduire cette collecte. Korben nous explique comment y accéder et nous conseille un excellant tutoriel pour supprimer les services intrusifs de Microsoft. Et voici un billet regroupant quelques techniques.

Windows 10 ne mettant pas en place des points de restauration automatiques, il faut le faire manuellement dans Propriétés systèmes / Protection du système.
Windows peut également gérer la sauvegarde de ses fichiers dans Paramètres / Sauvegarde.
Pour les programmes, ceux qui ont été installés par le Windows Store lié à votre compte Windows seront normalement réinstallés automatiquement.

Comment Linphone un service libre de VOIP remplace avantageusement les Skype et Co.

Voici les avantages que je trouve en l’utilisant :

Linphone est open source comme son service SIP serveur.

Linphone est multiplateforme. Windows, OS X, Linux, Android 2.2, iOS 6, Windows phone 8, Blackberry 5-7 et même le Raspberry Pi 1 sont les versions minimums supportés. Il est même disponible sur les navigateurs web Firefox, Safari, et Internet Explorer mais plus sous Chrome.

Linphone propose de communiquer en audio, vidéo ou par chat avec la possibilité d’envoyer des images.

Linphone propose la gestion d’appels multiples et les conférences, les pauses et les transferts.

Linphone propose l’envoie de fichiers.

Linphone propose de passer par un SIP personnel comme celui des Freebox pour passer des appels téléphoniques classiques sans surcoût.

Linphone est léger et sans pub.

Linphone propose des protocoles de communication sécurisés et une configuration poussée des proxys.

Voici le lien présentant les détails selon les versions.

Bravo aux développeurs basés proches de Grenoble qui vont pouvoir aller dans les détails, comme ceux que j’ai relevé sous iOS et qui pourront vous informer sur les points négatifs de ce service :

Mettre à jour le design.

Inverser le design des boutons de sélection comme celui entre Tous et Linphone qui prêtent à confusion.

Mettre les images des correspondants dans l’historique des appels.

Proposer des émoticônes.

Proposer l’envoie de vidéos dans un chat.

Proposer de laisser des messages audio ou vidéos.

Permettre de recadrer l’image d’un contact.

Màj: La révolution des PC low-cost: Comment l'ordinateur à 100€ va devenir la norme

Mise à jour du 02/12/2015:

Une carte PC à 5€: La  Rasberry Pi zero est proposée à 5$. Elle est basée sur du matériel supérieurs à la première ( Pi A et Pi A+) avec 2 fois plus de RAM et une vitesse du processeur augmentée de 40%, le tout sur une carte plus petite ( 6.5cm x 3cm x 0.5cm pour 9 grammes) et possédant moins de ports. Cette carte PC fonctionnelle à 5€ devra comme les autres être complétée au minimum par une alimentation (micro USB 5V 1A comme beaucoup de téléphones ) et une carte mémoire avec votre OS (micro-SD comme beaucoup de téléphones), soit quelques euros de plus si vous ne pouvez pas en recycler. Vous pouvez également y ajouter un boitier, un hub USB auto-alimenter, un câble mini HDMI vers HDMI, une clé Wi-fi, un adaptateur Ethernet et des pins et des périphériques GPIO pour la domotique ou la robotique.

Mise à jour du 02/02/2015:

- Le nouveau Rasberry Pi , toujours à 35$ est basé sur un microprocesseur ARM plus puissant que le premier mais surtout qui sera livré gratuitement avec un windows10 réduit concocté sur mesure par Microsoft. Canonial de son côté lui prépare un Ubuntu Snappy optimisé. Soit une carte PC fonctionnelle à 30€

- Les mini PC et les clés PC sous Intel et Windows sont de plus en plus nombreux sous les 100€ en Asie et vont surement baisser vers les 50€.

Article du 17/11/2014:

Depuis quelques temps un nouveau souffle se fait ressentir sur le marché des ordinateurs.

La révolution est arrivée avec les processeurs ARM et le système Android. Ils ont commencés à équiper massivement les téléphones puis les tablettes et plus timidement les ordinateurs portables et box avec l'arrivé de Chrome-OS.


Intel et Microsoft voyant ce marché se développer sans eux et comprenant la concurrence directe ont réagit et proposent maintenant des processeurs et un OS à des prix très agressifs voir gratuit pour Windows avec Bing et des prix de vente à perte de microprocesseurs Intel .

Les offres ne sont pas que avantageuses financièrement mais aussi qualitativement avec de rapides et importantes évolutions pour les microprocesseurs Intel qui sont devenus beaucoup moins énergivores et équipés de cartes graphiques bien supérieures afin de rattraper le retard pris face à ARM dans ces domaines. Certains se passent facilement de ventilateurs pour les refroidir et permettent donc des montages silencieux. La plate-forme Intel Bay Trail voit déjà son successeur annoncé avec l'Intel Braswell orientée elle aussi vers le low-cost performant avec une enveloppe thermique faible.
Pour Windows aussi l'offre se veux qualitative avec un système équivalent à sa version payante sans Bing et des possibilités d'installation larges offertes aux assembleurs et constructeurs contrairement à ce qui était proposé avec Windows Starter.


Les constructeurs traditionnels sont eux aussi obligés d'adapter leurs offres et proposer des engins low-cost complets dans les 200€ comme le trio proposé par asus (EeeBook, T100, VivoBook ) et l'offre HP avec sa gamme Stream.

Pour les mini-box Intel a montré la voie avec certains barbone (box sans mémoire et sans système) NUC abordables et performants.
Les constructeurs chinois sont très actifs et précurseurs dans le domaine. Ils l'ont fait sous ARM et Android, ils le font maintenant sous Intel X86 et Windows pour à peine plus chère comme chez Mele pour sa box.

Notons que le passage à l'architecture X86 n'est pas indispensable pour construire un PC lowcost car l'architecture ARM permet de faire tourner Linux, ses distributions et ses programmes et même une version de Windows8. Mais pour faire tourner les applications windows classiques il est indispensable.

Le succès du Rasberry Pi montre lui les possibilités d'une carte basée sur microprocesseur ARM très peu puissant.

 
Nous allons également avoir des clés PC sous Intel et Windows comme la Meegopad pionière du genre qui commenceront vers les 50€ marchant sur les traces du succès des clés chinoises sous Android à prés de 30€.
Concernant les clés notons le développement grand publique de solutions sous ARM comme la ChromeCast ou celle plus récente d'Amazon ou de Microsoft qui permettent de connecter facilement votre télé et de lui apporter les flux vidéos, musicaux et des applicatifs comme les jeux très rémunérateurs pour ceux vous les fournissant directement ou comme souscripteur. Ces clés "propriétaires" peuvent donc être vendues à des prix en dessous de leur coût de fabrication. Elles n'ont cependant pas la prétention de devenir des PC et sont souvent dépendante d'un autre appareil connecté (smartphone, tablette, PC) les pilotant.

Nous trouvons donc des PC de qualité sous Intel x86 équipés de Windows et/ou Linux à des prix très intéressants sous les 200€ pour les portables, vers 100€ pour les tablettes et les box et même bientôt vers 50€ pour les barbones et les clés.

Comment appréhender les nouveaux OS mobiles

Personnellement j'ai commencé par l'OS Windows Mobile, Os propriétaire de Microsoft sur mon premier smartphone, puis j'ai eu un Android, OS open source de Google et j'utilise actuellement iOS l'OS mobile propriétaire d'Apple. Sur tablette je suis également passé d'Android à iOS. Il me manque Windows CE, PocketPC et WindowsPhone de Microsoft, Symbian de Nokia, BlackBerry OS de RIM, Bada de Samsung, Meego de Nokia et Intel, webOS de Palm puis de HP et LG, et quelques autres plus méconnus comme openMoko, MoboLinux, Qt Extended, LiMo ou LinuxMobil , pour compléter le tableau.



Mais il nous sera bientôt proposé de nouveaux OS mobiles qui auront comme particularités d'être open source (comme Android):


Tizen: Il est poussé principalement par Samsung (pour ne plus être dépendant de Google qui dirige Android).

FirefoxOS de la Fondation Mozilla. Il est centré sur le html5.

Ubuntu Phone OS de Canonical.

Sailfish OS de Jolla. Il est comme Tizen un dérivé de l'OS open source MeeGo.




et pourquoi pas

des smartphones sous OpenWebOS qui est une version open source de WebOS

ou sur des variations d'Android comme il y en aurait de nombreuses en chine,

ou d'autres dérivés de Meego qui est lui même issus du raprochement de Maemo de Nokia et de Moblin d'Intel.



Beaucoup comptent tous sur une compatibilité avec les applications Android comme Sailfish ou sur le html5 pour proposer rapidement de nombreuse applications.



Ils ont pour beaucoup une base linux commune et partagent des travaux qui ont étaient réalisés autour de ce noyau par des groupements comme Limo où nous retrouvons des concepteurs de circuits, des fondeurs, des constructeurs de terminaux et des opérateurs.



Remarquons enfin que même les systèmes fermés s'ouvrent de plus en plus comme nous le montre les efforts d'Apple pour la septième version de son OS.

Comment créer grâce aux logiciels libres

Voici ce qui peut être utilisé pour créer grâce aux logiciels libres :

systeme d'exploitation Ubuntu
graphismes 3D Blender
graphismes photos Gimp
graphismes vectoriels Inkscape
graphismes peinture MyPaint
graphismes dessins Krita
graphismes sonores Audacity

graphismes édition Scribus
suite bureautique LibreOffice
éditeur de polices vectorielles FontForge
musique boite à rythmes Hydrogen
programmation Éclipse
briques de programmation LibGDX
architecture 3D SweetHome3D
éditeur vidéos Kdenlive (Linux et Mac seulement)
site web Kompozer
Animation 2D Synfistudio


Il en existe beaucoup d'autres, mais ne les utilisant pas assez je ne peux vous les conseiller:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Logiciels_libres
dont pour la vidéo:
Retouche vidéos CinePaint ( basé sur Gimp)
Montage vidéos Lightworks (avec une clé à la con)
Montage vidéos Cinelerra (Linux seulement)
Montage vidéos OpenShot vidéo Editor (portée aussi sous Windows mais encore en béta )
Mixage vidéo live Onyx VJ (sous flash)
Performance vidéo live  Lives (Linux voir Mac seulement)
Effets spéciaux vidéo Jahshaka ( en jachère ?)
Capture vidéo VirtualDub (Windows seulement)
Edition Vidéo Avidemux (Windows seulement)

lien/vidéo: http://www.lprod.org/wiki/doku.php

Et pour le son:

séquenceur enregistreur Ardour

LMMS

Rosegarden

SuperBoucle

KXStudio

Il existe également des logiciels non libres mais gratuits qui sont de très bonne qualité:
sculpture 3D Sculptris 
animation 2D Spriter
graphismes 3D Sketchup
graphismes paysages Terragen
DJ Mixxx
Montage vidéo Movie Maker (Windows seulement)

Les OS ou les distribution:

Ubuntu, Debian

Avec les versions portables, les live CD qui permettent de les tester ou de les utiliser rapidement. 

Vous trouverez évidemment des tutoriels sur le net dont de nombreuses vidéos.

Sources linuxfr.org

Comment j'imagine un MegaOS idéal

Un "megaOS" permettrait d'utiliser facilement des programmes Linux, Windows, windows UI, Osx, Android, ios, Windows mobile, web app...

Mais la solution ne serait pas véritablement un Os car le but ne serait pas de "gérer" un ordinateur et son hardware mais de permettre l'utilisation de programmes conçus à l'origine pour s'exécuter sur différents OS et différents Hardware.

Il s'agirait donc d'une machine virtuelle ou un émulateur qui serait installé sur un un PC ou sur un serveur. On utiliserait le serveur à distance grâce à un programme spécifique à son hardware ou éventuellement par son navigateur.

Ce qui existe déjà:

La virtualisation le permet depuis longtemps avec entre autre une utilisation de type serveur. Mais je ne connais pas d'offres grand public permettant de l'utiliser facilement.

Des émulateurs et d'autres solutions existent pour par exemple faire tourner des programmes windows sur linux (comme wine), des programmes android sur windows ...

Les installation multiboot sont possibles sur des PC pour avoir sur plusieurs partitions ou plusieurs disques des systèmes différents mais il est assez difficile de les installer et de permettre des inter-actions ou des partages de dossiers.
Il se pose également un problème réglementaire, par exemple apple cherche à interdire l'installation de son OS sur les autres machines que les siennes (en france la loi autorise cette pratique).

Steam propose des logiciels compatibles windows, mac et linux depuis sa plateforme et son logiciel qui s'installe sur les trois OS.

Les logiciels WebApp sont conçus pour être supportées sur des "navigateurs" présents sous chaque OS. Google avec ChromeOS sur PC et Mozilla avec FirefoxOS sur mobile conçoivent des OS dédiés aux web app.


Ce qui le démocratisera:

Les solution de virtualisation devront être employées pour offrir des solutions simples pour utiliser des programmes qui ne sont pas prévus pour le système installé. Elles devront proposer deux types de solutions.


La première solution propose d'installer l'application sur le terminal de l'utilisateur grâce à une virtualisation ou à un émulateur du système d'exploitation.
Cette solution à l'avantage de ne pas nécessiter de connexion et ne pas subir des coût d'utilisation du serveur mais elle nécessite d'installer un programme spécifique lourd qui n'est donc envisageable que sur des machines puissantes et peu d'OS.

La deuxième propose d'installer l'application sur un serveur. l'utilisateur visualisera et controllera alors à distance son application et pourra rapatrier les fichiers générés. L'interface pourrait être une web app qui a l'avantage d'être multiplate-forme.
Cette solution nécessite une bonne connexion permanente et des frais liés au serveur mais à l'avantage d'être envisageable sur énormément d'interfaces connectées.


Les deux solutions possédant leurs propres qualités et défauts elles seront proposées de manière complémentaires. Le choix se fera selon les conditions rencontrées. La solution sur serveur s'imposera quand la solution ordinateur n'est pas possible.

Notons qu'il est également possible de combiner les deux grâce à un système de synchronisation des fichiers. On pourra sur sa tablette Android (controllant imovie pour OSx sur le serveur) poursuivre notre travail commencé sur notre ordinateur sous Ubuntu (virtualisant OSx).

Les programmes propriétaires et libres seront si possible proposés selon les licences existantes ou adaptées si l'éditeur le souhaite selon des modalités propres à notre plate-forme. Ils pourront alors être proposés à l'essais, à la location et à l'achat.

Comment je ne suis pas arrivé à installer un logiciel sous Ubuntu/Linux

Voici un retour d'expérience d'un novice sous Ubuntu et sur les difficultés rencontrées pour installer un logiciel sous Ubuntu.

Aucun éditeur de pages html "Wysiwyg" étant présent dans la logithèque d'Ubuntu 12.10 j'ai essayé d'en trouver un autre et surtout de l'installer.

Pour cela, je retourne voir la doc Ubuntu, et les méthodes non recommandés pour installer un logiciel (car pas dans la logithèque) ... Une doc bien faite où j'avais déjà appris les spécificités des programmes pour Ubuntu et de leur installation: les dépôts, les paquetages compressé ou pas, les paquets, les dépendances, sous dépendance, l'importance de l'ordre d'installation, les gestionnaires de paquets, les installateurs de paquets, la logithèque, la mise à jour de la base de donnée des paquets du dépôt de la logithèque ...

Je trouve SeaMonkey sur son site officiel, le télécharge et "accepte de l'ouvrir" avec le gestionnaire d'archives... Il apparaît dans la fenêtre téléchargement de Firefox comme un dossier compressé (le fameux .tar.bz2 ) mais toujours rien dans la logithèque ni dans le gestionnaire de paquets. Ce dernier ne peut pas ouvrir le dossier (caché dans .temp qui lui même est caché dans "système de fichier"...). Je le décompresse et je trouve dedans des fichiers exécutables dont un nommé SeaMonkey qui me permet de lancer le programme. Il ne me reste plus qu'à classer ce dossier décompressé dans un dossier "Programmes" créé pour l’occasion et de créer un raccourci (ou lien sous Ubuntu) vers l'exécutable sur mon bureau.
C'est comme certains .exe !

SeaMonkey propose beaucoup et comprend "Composer" qui est convainquant.
J'ai été très heureux de l'apprendre car cela ne c'était pas passé ainsi pour le logiciel Kompozer: malgré le tar.gz un autre format de compression et les nombreux exécutables et un script shell  trouvés mais je ne suis toujours pas arrivé à l'installer ou le lancer. J'ai lancé en vain le script shell dans un terminal après l'avoir "autorisée" en inspectant ses propriétés.
Kompozer était pratique car simple et efficace.

J'ai téléchargé Amaya un autre éditeur html. Le fichier du logiciel possède lui une extension .deb et pour les installer il fallait en premier lieu installer Gedebi un autre logiciel ...
J'ai été agréablement surpris par Amay.

Sinon on m'a gentiment conseillé de trouver BlueGriffon un autre éditeur web sur getdeb car il n'était également pas sur la logithèque. Getdeb un site qui regroupe certains logiciels pour Ubuntu. Il faut ajouter leur serveur de paquets à la logithèque soit en ligne de commande par le terminal soit à l'aide d'un logiciel .deb ...
BlueGriffon se révèle instable.

En conclusion, je ne renonce pas à installer Kompozer car il existe d'autres méthodes.
Je vais donc essayer de l'installer grâce à son code source si je le trouve.
Je pourrais également essayer de le trouver sur d'autres serveurs du type de getdeb, réinstaller Ubuntu 10.04 avec lequel il était disponible.
C'est depuis la mise à jour vers la version Ubuntu 12.10 (version stable) qu'il a disparu de mes programmes.
J'ai même envisagé d'installer le .exe avec wine (et là ça marche!) ou avec un émulateur ou par la virtualisation ou de revenir sous Wind...

Il est à mon avis indispensable de simplifier l'installation de programmes sous Ubuntu qui se veut grand public.
Pourquoi la mise à jour de Ubuntu vers une version stable rend inaccessible des programmes installés?
Pourquoi devoir télécharger des programmes pour en installer d'autres? Il faudrait qu'ils soient fournis avec Ubuntu.
Pourquoi avoir besoin de connaître  les dépôts, les paquetages compressé ou pas, les paquets, les dépendances, sous dépendances, l'importance de l'ordre d'installation, les gestionnaires de paquets, les installateurs de paquets, la logithèque, la mise à jour de la base de donnée des paquets du dépôt de la logithèque ...? Il faudrait tendre vers rendre l'installation d'un programme transparente, quelque soit l'importance et la complexité des mécanismes sous-jacents.

Après avoir séduit personne aime être déçu.
Le logiciel libre doit continuer de nous libérer des prises de tête informatiques .